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Juin 15, 2014 - L'os à voile    No Comments

« Pô, le roman d’un fleuve » de Paolo Rumiz chez Hoëbeke (Paris, France)

 sur 20 Minutes :

Résumé

Collection Étonnants voyageurs dirigée par Michel Le Bris

Pas de plan précis, pour ce voyage : juste un fleuve, un départ et un point d’arrivée. Et puis quelques amis, des canoës, une barcè, un cat-boat à mât inclinable, au fil des jours, jusqu’à la mer et au-delà.
Juste un fleuve, mais le plus grand d’Italie, Sa Majesté le Pô, oublié, abandonné, redevenu sauvage. A travers les régions les plus peuplées d’Italie, industrielles, bruyantes, polluées, certes, mais à peine livrées au cours du fleuve, Paolo Rumiz et ses compagnons découvrent un espace vierge d’une rayonnante beauté, et un silence tel qu’ils se surprennent à chuchoter…
Paolo Rumiz voulait «entendre la voix du Pô» – mais voilà, toutes amarres rompues, que cette voix bientôt l’emporte au-delà, très loin, quelque part du côté de l’Hudson et du Saint-Laurent, du Zambèze et de la Léna, du Mékong et du río Grande, à croire qu’un fleuve est tous les fleuves du monde.
Un voyage au plus près, des sensations, des rencontres, des dialectes, des mets et des vins du «peuple du fleuve», qui s’ouvre peu à peu jusqu’à l’immense, dans le temps même qu’il se fait voyage intérieur. Jamais l’auteur ne s’était ainsi livré, dans ce livre tout simplement magique.

Paolo Rumiz, né à Trieste en 1947, tenu pour le plus grand écrivain-voyageur en Italie, est en passe de le devenir en France depuis la publication de ses deux premiers livres : Aux frontières de l’Europe et L’Ombre d’Hannibal.

«Quand le voyage devient un art d’appréhender, dans le même mouvement, l’espace et le temps. Et la littérature, un bain d’humanité.»
Michel Abescat, Télérama.

La revue de presse : Marc Semo – Libération du 10 avril 2014

Ce fleuve immense, un des plus longs d’Europe avec ses quelque 700 kilomètres, traverse les régions les plus peuplées, les plus industrielles et les plus riches de la péninsule, mais le Pô reste sauvage et mystérieux derrière les hautes levées destinées à protéger les campagnes de ses inondations, qui le rendent ainsi le plus souvent invisible…
Ce récit picaresque, tour à tour érudit, grinçant ou émouvant est celui d’une aventure, avec ses protagonistes bien campés et surtout leurs rencontres tout au long de la descente du fleuve. Il y a Marina la Russe, vivant sur une île près du delta, où elle retrouve l’immensité sauvage de la Volga. Il y a les fous d’opéra, qui dans leurs cahutes au nord de l’eau écoutent à plein régime les arias de Verdi, et les dingues du blues quand, à l’amorce de son dernier tiers, le Pô alangui prend des airs de Mississippi, évoquant un «sud d’avant la guerre de Sécession, avec les ruines ensablées d’énormes dragues à vapeur et des guinguettes clinquantes».

La revue de presse : Marcelle Padovani – Le Nouvel Observateur du 27 mars 2014

C’est l’histoire d’un fleuve, le plus imposant d’Italie : « la dernière terre d’aventure de la Péninsule », dit Paolo Rumiz…
Oui, par-delà la nostalgie pour la beauté d’une Italie disparue, ou en voie de disparition, le livre signé Paolo Rumiz et intitulé «Pô, le roman d’un fleuve» est une histoire de civilisation. Le récit envoûtant des mille sortilèges d’une descente du Pô en canoé. Le Pô, le fleuve le plus imposant d’Italie avec ses 652 kilomètres, qui parcourt la Padanie (l’Italie du Nord) comme un serpent, passant par Turin, Milan, Ferrare et Plaisance avant de s’abîmer dans l’Adriatique…
En écoutant la voix du fleuve, de ce monde mythique en voie de disparition, en racontant comment chaque kilomètre a été une découverte, Paolo Rumiz a fait du Pô un espace de légende…
Paolo Rumiz, admirablement traduit par Béatrice Vierne, vient d’écrire la plus belle des «initiations au fleuve».

La revue de presse : Marine de Tilly – Le Point du 27 mars 2014

Dans « Pô, le roman d’un fleuve », le grand reporter Paolo Rumiz fait de son aventure un roman, un voyage intérieur entre deux eaux, deux rives, deux rêves…
Pourquoi le lire ?…
Parce que c’est un roman, c’est même annoncé dans le titre, c’est une aventure, c’est un roman d’aventures. Parce que c’est un fleuve, oui, mais de papier, beau à contempler, beau à traverser, beau à se damner, avec ses affluents, ses confluents qui vous embrassent comme des lassos et font tourner la tête. Parce que c’est un voyage, oui, mais intérieur, pourquoi pas une illusion, le songe enchanté d’une nuit ou de toute la vie. Et parce que quand c’est trop beau pour être vrai, a priori, c’est que le romancier a bien fait son travail. Paolo Rumiz est un revenant. Un lémure du temps bénit où le roman était romanesque, et où c’était encore un pléonasme.

Retrouvez la fiche complète sur le choix des libraires

Juin 10, 2014 - L'os à voile    No Comments

Chronique d’une balade annoncée (10) : au rapport !

C’est donc samedi matin de ce weekend prolongé de Pentecôte que je me suis lancé avec mon attelage chargé à bloc, histoire de voir si l’ensemble tient le coup sur la distance.

Quand je dis chargé à bloc, c’est bien le cas car je outre le kayak son équipement, la logistique de randonnée (tente, couchage …) j’embarque plusieurs jours de vivre plus appareil photo, téléphone, batteries de secours … Au total l’ensemble dépasse les 60 kg !

Juste arrivé au bord du Rhône avec le montage initial de la glacière sur le bidon…

C’est beaucoup, beaucoup trop mais c’est un test… et qui peut le plus …

Départ de la maison avec une descente bien raide pour rejoindre la Viarhôna la piste cyclable qui longe le fleuve.

Si l’objectif est bien de tester l’ensemble sur route, je comptais bien effectuer une partie en navigation également…

Hélas ! Le vent du sud est fort, trop fort levant un fort clapot contre le courant…. Ce type de vent je le connais bien et sur l’eau c’est la galère assurée : il faudrait pagayer comme un malade pour essayer de descendre un peu… Bernique j’ai déjà donné, surtout avec un bateau chargé et le fardage des bagages embarqués. Je renonce donc à la navigation mais ce n’est pas grave car l’objectif est de rouler…

Sitôt la piste rejointe les ennuis commencent : le chargement de la glacière qui contient la bouffe ne tient pas. J’ai dû le percher sur mon bidon comme on voit sur les photos sinon cela me gène pour pédaler… Je tente une première modification en ficelant la glacière sur la remorque… mais la solution ne me convient pas : je dépasse alors allègrement les 40 kg de charge utile de la remorque.

Essai de placer la glacière sur la remorque

Certes celle ci semble encaisser la surcharge sans broncher mais je préfère trouver une autre solution et finalement je parviens à poser la glacière directement sur le porte bagage en intercalant mon bidon (qui contient les papiers, le téléphone, les batteries…) entre la glacière et la tige de selle ce qui me permet de pédaler sans difficulté et sans accrocher la glacière avec mes pieds.

Cette fois le chargement sur le vélo tient bien !

Une fois cet aménagement réalisé tout baigne et je peux me lancer. Je suis sur terrain plat mais avec 20 noeuds de vent en rafale dans le paf…Néanmoins je maintiens sans difficulté une cadence de pédalage qui me procure une vitesse de progression  satisfaisante.

Autre satisfaction les cales pieds que j’ai adaptés aux pédales d’origine du Brompton se révèlent efficaces et bien adaptés.

 

Donc j’enquille les kilomètres le long du Rhône : Saint Michel, Chavanay, Saint Pierre de Boeuf, Serrières (où je fais une pause pour casser la croûte) puis je continue toujours sur la Viarhôna, Saint Rambert, Andancette et me voici à Saint Vallier.

Il n’est pas trop tard dans l’après midi je décide de continuer vers le sud direction Tournon. Manque de bol à la sortie de Saint Vallier je loupe la Viarhôna et me voilà embarqué sur la 88. La route est plus pentue que la piste et surtout il y a pas mal de circulation… C’est néanmoins un bon test puisque je progresse sans trop de difficulté… avec toujours le vent dans le nez !

Pour finir je décide m’arrêter un peu avant Tournon dans un camping « l’Iserand » à Vion où nous avions fait étape avec Marie il y deux ans quand nous avions descendu le fleuve, elle en voiture et moi en Yakkair.

Super Camping, je recommande ! Propre ombragé nickel au niveau des sanitaires avec une piscine (que je n’utilise pas !).

Donc montage de la tente et farniente pour finir la journée à bouquiner tranquille… pas trop fatigué, tout va bien !

La tente…

Dans le sens de la remontée, juste avant le barrage d’Arras : je me demande s’il y a beaucoup de canoës qui remontent le fleuve ! (panneau indicateur qui signale le barrage)

La suite est facile à deviner après une bonne nuit retour sur la viaRhôna cette fois jusqu’au pied de la colline de Saint Michel où l’appelle pour que l’on vienne me chercher : pas question de grimper la côte avec mon barda … mais la pente est sévère…

Piste et fleuve…

Conclusion de cet essai :

Au total un petit peu moins de 100 km en deux jours, effectués sans grosses difficultés mais sur un terrain relativement plat avec il est vrai un très fort vent dans le nez le premier jour.

Il est donc possible de trimballer toute une logistique en rappelant que j’avais volontairement chargé la mule !

Si l’ensemble des bagages parait bien calés je vais néanmoins réduire le transport de bouffe, supprimer la glacière que vais remplacer par un sac à l’avant du vélo (le T bag de Brompton devrait faire mon affaire). J’aurais ainsi plus de facilité pour grignoter et boire en route, consulter une carte ou sortir le téléphone.

Le T bag, sac de randonnée de Brompton

Une remarque qui n’a rien à voir avec mon essai, c’est l’état calamiteux de la piste à certains endroits avec les racines des arbres qui gondolent la chaussée : on se fait secouer le panier à crottes !

Le Brompton et la Chubby n’ont pas bronché, à voir sur un temps plus long mais sûr, c’est du bon matos !

Le hic serait une grosse bosse à franchir … il faudrait pousser l’attelage et cela ne serait pas  de la tarte…

En ville et même sur la route avec la circulation tout va bien. Bon rien de bien étonnant dans tout ça mais j’ai ma réponse : une rando vélo/kayak en autonomie sur plusieurs jours est possible, reste à optimiser encore le poids mais je ne suis pas loin de ce que je voulais !

La suite maintenant cet été sur la Loire …

 Toutes les photos

Juin 1, 2014 - L'os à voile    No Comments

Chronique d’une balade annoncée (9) : paré pour un premier essai !

Bon encore deux ou trois bricoles à régler et si tout va bien je fais un premier essai avec tout le barda le weekend prochain sur le Rhône : roulage – navigation – bivouac (ou camping) et roulage …

Ce n’est pas la navigation qui m’inquiète c’est plutôt le vélo… Il ne me faut pas trop de côtes …

On va pouvoir tester en live, avec le kayak seul ça va, on va voir avec le matos de bivouac et l’intendance !

 

Prêt à partir !

Prêt à partir !

 

Mai 17, 2014 - L'os à voile    No Comments

Chronique d’une balade annoncée (7) : des précisions sur les bivouacs dans le PNR Anjou Touraine

Voici le complément des informations concernant la possibilité de bivouaquer au bord de la Loire dans le PNR Anjou Touraine .

Où l’on verra que la situation n’est pas désespérée et que décidément, non, la France n’est pas le pays de « l’interdit ». Les sternes et les kayakistes bivouaqueurs peuvent très bien cohabiter pour peu que l’on respecte certaines règles !

Bonjour Monsieur,

Je vous prie d’excuser ma réponse excessivement tardive à votre question. J’espère qu’il est encore temps d’y répondre.

La question du bivouac en Loire est effectivement complexe. Au sein du PNR Loire Anjou Touraine, il faut bien distinguer entre les secteurs avec une réglementation particulière et les autres, soumis à la réglementation générale.

1° Dans le cas de la réglementation générale, en Loire comme ailleurs, le camping peut être librement pratiqué, avec l’accord de celui qui a la jouissance du sol (donc sous réserve de l’opposition du propriétaire), sauf :

–          Sur les routes et voies publiques

–          sur les rivages de la mer ;

–          dans les sites inscrits et dans les sites classés;

–          dans le champ de visibilité des monuments historiques (attention à ne pas camper au pied d’un des châteaux de la Loire…) ;

–          dans un rayon de 200 mètres autour des captages d’eau.

Enfin, il faut savoir que des arrêtés municipaux plus restrictifs peuvent s’appliquer dans certaines communes. Lorsque c’est le cas, il doit y avoir un affichage spécifique qui le précise.

Pour la question de la propriété du terrain, dans le cas de la Loire : les bancs de sable font partie du domaine public fluvial, donc sont accessibles à tous (sauf dans les zones particulières, voire au 2°). En revanche, les îles permanentes (hors d’eau l’hiver  et qui sont boisées, cultivées, ou en prairies, voire bâties) sont le plus souvent des propriétés privées.

2° Pour ce qui est des zones particulières :

Dans certains secteurs fragiles, afin de protéger des espèces d’oiseaux menacées (Sterne pierregarin, Sterne naine, Mouette mélanocéphale, …) qui nichent à même le sable, l’accès aux îlots et bancs de sable est interdit, par un arrêté préfectoral de protection de biotope. L’accès y étant interdit, le bivouac y est donc interdit aussi, de même que tout activité pouvant déranger les oiseaux.

Au sein du PNR, sont concernés, du 1Er avril au 15 août de chaque année , les îlots de sables (= bancs de sable au milieu de la Loire, qu’on ne peut pas atteindre à pied sec depuis la berge) situés dans les secteurs suivants :

–          la Loire entre Montsoreau et Saumur : depuis le lieu-dit « le port de Montsoreau » jusqu’à l’Ile d’Offard, à Saumur (stade de foot)

–          la Loire entre Le Thoureil et la Daguenière : du Thoureil(rive gauche, face au bourg) et La Ménitré (rive droite) jusqu’à Juigné-sur-Loire et La Daguenière (à l’aval de Belle Île)

Je joins une carte qui situe ces deux secteurs, au sein desquels l’accès aux îlots de sables est interdit pendant la période estivale.

Carte

En revanche, dans ces secteurs, le bivouac sur les grèves attenantes à la berge ( autrement dit les « plages » qui sont accessibles à pied sec depuis la rive) reste permis, de même que sur les plages qui entourent les îles permanentes (en respectant la partie privée de l’île).

Enfin, sachez que, lorsque c’est possible, la LPO Anjou met en place des panneaux d’information pour signaler les zones accueillant des colonies importantes d’oiseaux protégés. Soyez particulièrement vigilants à ne pas traverser des zones qui seraient délimitées par de tels panneaux. Pour votre information, je joins également, 2 documents d’information présentant les espèces protégées, visées par ces mesures de protection.

Hors des limites du PNR, pour plus d’informations sur les interdictions en région Centre (hors PNR), vous pouvez consulter les arrêtés de protection de biotope existants ici : http://www.centre.developpement-durable.gouv.fr/les-arretes-de-protection-de-a1390.html ou vous renseigner auprès du Conservatoire des Espaces naturels de la Région Centre.

Je vous remercie pour les exemples de prestations touristiques que vous nous avez envoyés.  Le Parc naturel régional n’est pas responsable de la communication réalisée par les professionnels du tourisme, ni de la qualité des prestations qu’ils proposent et vendent.  Nous travaillons, avec la LPO Anjou,  à l’information et à la sensibilisation des professionnels du tourisme, afin qu’ils ne proposent pas leurs prestations de bivouac dans les secteurs sensibles.  Nous espérons que les professionnels sensibilisés informent leurs clients de l’existence de ces secteurs, et des « règles de bonne conduite » qu’il convient d’y respecter, pour préserver le patrimoine naturel de la Loire. Nous ne savons pas s’ils le font tous, systématiquement, mais nous savons que certains s’efforcent de le faire.

Espérant avoir pu répondre à vos interrogations, mes collègues et moi-même restons à votre disposition pour plus d’informations. N’hésitez pas à revenir vers nous si ma réponse n’est pas suffisamment claire.

Vous souhaitant un bon séjour en Loire-Anjou-Touraine,

Cordialement,

Lucile Stanicka
Chargée de mission Natura 2000
Vallée de la Loire des Ponts-de-Cé à Montsoreau – Vallée du Thouet
Ligne directe : 02 41 53 05 08

Parc Naturel Régional Loire Anjou Touraine
7 Rue Jehanne d’Arc, 49730 MONTSOREAU
Tél : 02 41 53 66 00 – Fax :  02 41 53 66 09
www.parc-loire-anjou-touraine.fr

Mai 15, 2014 - L'os à voile    2 Comments

Une chouette vidéo de Todd !

Il est balaise l’ami Todd !

C’est lui qui m’a inspiré pour le vélo kayak, on ne se connait pas (encore), juste des échanges par mail. Mais chez lui c’est plutôt tonique, j’aurais du mal à suivre ! Il faut dire que je trimballe un peu plus de matos… c’est qu’il  lui faut son petit confort à Pépère !!!

Mai 3, 2014 - L'os à voile    No Comments

Chronique d’une balade annoncée (3) : problème avec l’itinéraire prévu…

Je m’en doutais un peu quand j’ai vu que l’itinéraire que j’avais envisagé était en fait situé dans le périmètre du parc naturel régional (PNR) Loire – Anjou- Touraine…

Le trajet …

Humm ça risque de coincer avec les bivouacs… Donc pour avoir le coeur net j’adresse un mail via le site du PNR et voici la réponse ;

Bonjour,

Les bivouacs sur le territoire du PNR sont interdits.

De même les escale sur les îles de Loire ne sont pas autorisées. Il existe un arrêté de Biotope qui vise à interdire les bivouacs, activitées et escales sur les iles non permanentes et les bancs de sable qui émergent au printemps-été.

De nombreux camping propose des emplacements pour campeurs, notamment ici à Montsoreau ou Candes-Saint-Martin.

Vous souhaitant un bon séjour.

Stéphanie GEORGES

Maison du Parc Agent d’accueil et de médiation. Responsable de la Boutique.

15 avenue de la Loire

49730 MONTSOREAU

02 41 38 38 88

s.georges@parc-loire-anjou-touraine.fr

www.parc-loire-anjou-touraine.fr

D’une discussion avec des copains (ici) il ressort que la situation n’est pas très claire…Que l’on protège, à juste titre, des zones de nidification soit, c’est normal, de là à tout interdire… D’autant que des organismes privés organisent des bivouacs dans le PNR ! (voir dans la discussion du forum).

Alors que faire ?

Première solution changer de destination – Deuxième solution supprimer les bivouacs : avec mon système vélo et kayak c’est possible de rallier un camping qui ne serait pas situé en bord de fleuve. Mais dans ce cas c’est se priver du plaisir du bivouac.

Donc … cogitons !

 

dacosavoile

 
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