Fév 21, 2009 - Côté professionel    No Comments

Départ de l’inspecteur d’académie du Rhône

 » Départ de l’inspecteur d’académie : surprise générale et silence gêné Jacques Aubry a reçu hier soir un arrêté le suspendant de ses fonctions à partir de lundi dans l’intérêt du service.Jusqu’alors, l’inspecteur d’académie du Rhône avait appris sa mise à l’écart par oral, sur convocation téléphonique du directeur des services de l’encadrement du ministère. Celui-ci lui aurait alors indiqué que le recteur Debbasch lui retirait sa confiance après quatre mois de fonctions à la tête des services départementaux de l’Education nationale.« Je suis très surpris d’une décision qui nuit au bon fonctionnement de l’Etat républicain ». Adjoint aux affaires scolaires de Lyon, Yves Fournel est l’un des seuls à réagir officiellement au départ précipité de l’inspecteur.Au ministère comme au rectorat, pas moyen d’obtenir une explication. « Aucun commentaire » d’un côté. Silence radio de l’autre.A l’Inspection, de proches collaborateurs assuraient hier après-midi ne rien savoir de la décision touchant leur supérieur. Ancien recteur de l’académie limogé en mars 2007, Alain Morvan a en revanche vivement réagi : « Je connais bien M. Aubry. C’est un professionnel honnête, loyal, d’une grande droiture ». Avant d’ironiser. « Je conseillerais à son successeur de se contenter de relayer les instructions si farfelues soient-elles, de prendre sa carte à l’UMP et de choisir une chanson de Carla Bruni comme musique d’attente à l’inspection ».Au Snuipp-Fsu, syndicat majoritaire du primaire, c’est aussi l’étonnement. « Nous avions alerté le ministère sur les problèmes de la carte scolaire, mais ceux-ci sont liés à des moyens que l’inspecteur n’avait pas ». Le syndicat avait en effet écrit à Xavier Darcos il y a quelques semaines critiquer la gestion de M. Aubry.Cette situation inédite ne peut se prolonger longtemps. Mardi, le Conseil départemental de l’Education nationale se réunit en préfecture afin de valider les mesures sur les ouvertures et fermetures de classes. Il est en principe présidé par l’Inspecteur d’académie. Sa chaise sera-t-elle vide ? M. F.

Fév 20, 2009 - Côté professionel    1 Comment

L’inspecteur d’académie du Rhône »remercié »…

Une nouvelle surprenante … L’inspecteur d’académie du Rhône, Jacques Aubry, aurait été « contraint de quitter ses fonctions »…

Selon le Progrès, cette décision, non encore actée par décret, a été signifiée à l’intéressé lors d’un rendez-vous au ministère de l’Education nationale mardi 17 février.

Jacques Aubry explique qu’aucune explication ne lui a été donné à part qu’il a perdu la confiance du recteur.

Selon le quotidien, ce départ précipité pourrait avoir été décidé pour sanctionner sa gestion de plusieurs dossiers comme les remplacements d’enseignants, l’application du service minimum dans les écoles ou l’accueil des deux ans dans les maternelles.

Décidément « ça flingue dans le Rhône » on se souvient de l’éviction du recteur Morvan.

ce dernier aurait déclaré :

« Je connais bien M. Aubry. C’est un professionnel honnête, loyal, d’une grande droiture ». Avant d’ironiser. « Je conseillerais à son successeur de se contenter de relayer les instructions si farfelues soient-elles, de prendre sa carte à l’UMP et de choisir une chanson de Carla Bruni comme musique d’attente à l’inspection ».

Fév 12, 2009 - Côté professionel    2 Comments

La constante macabre

Le terme « constante macabre » a été inventé par André Antibi , professeur à l’université Paul Sabatier de Toulouse et à l’école d’ingénieurs Sup-Aéro, directeur du Laboratoire de didactique de l’université Paul Sabatier de Toulouse dans un livre homonyme paru en 2003.« Par «Constante macabre», j’entends qu’inconsciemment les enseignants s’arrangent toujours, sous la pression de la société, pour mettre un certain pourcentage de mauvaises notes.Pour illustrer ce propos, écoutons André Antibi à l’occasion d’ une conférence prononcée à l’ESEN lors d’un module intercatégoriel (inspecteurs, personnels de direction, formation initiale et continue)  « Accompagner l’évolution des pratiques d’évaluation des acquis des élèves » :

Ecouter la conférence :

[audio:http://chronos.campus.univ-poitiers.fr/esen_podcast/mp3/antibi/a_antibi.mp3]

Télécharger

Le site du mouvement contre la constante macabre MCLCM :

Fév 7, 2009 - Côté professionel    No Comments

Etude sur les personnels exerçant dans le dispositif culturel français à l’étranger.

Analyse de la situation actuelle dans le but de lister les catégories (1) dans lesquelles sont placés les enseignants exerçant hors de France.En préambule il convient de rappeler quelles sont les missions assignées aux enseignants exerçant à l’étranger et dans quels cadres ils les exécutent.A – Les missions assignées à ces personnels:On peut relever deux grandes missions à priori distinctes :

  • assurer la scolarisation des élèves français à l’étranger
  • promouvoir la diffusion de la langue et de la culture française

Mais .. .La frontière entre ces deux missions est perméable : dès lors que des élèves étrangers, nationaux ou tiers, fréquentent les établissements prioritairement dévolus à la scolarisation des ressortissants français on retrouve une dimension de diffusion .B – Les cadres (établissements) pour l’exercice de ces missions :Pour la scolarisation :

  • établissements français :
    • de l’AEFE,
    • non conventionnés,
    • de la Mission Laïque Française,
  • établissements étrangers.

Pour la diffusion :

  • SCAC des postes diplomatiques,
  • instituts,
  • Alliances Françaises,
  • universités étrangères.

C- Les positions et statuts des personnels :Il convient d’examiner au cas par cas la situation des personnels exerçant dans chacun des cadres énumérés ci dessus.Pour commencer je me propose de porter un premier éclairage sur la situation des personnels exerçant dans les établissements relevant de l’AEFE.Revue de détails des différents types de « statuts » rencontrés:

La création de l’AEFE puis son évolution sur laquelle je ne reviens pas ici ont abouti, de fait, au classement suivant :

1. personnels relevant de l’AEFE :1.2. Expatriés,1.2.Résidents :1.2.1. « vrais » résidents : ayant des liens avec le pays, matériellement, installés, souvent conjoint(e) d’un(e) ressortissant(e) local(e) ou bi-nationaux.1.2.2 « faux » résidents : titulaires recrutés en France devenu résidents après une période de trois mois pendant laquelle il sont placés en disponibilité.2. personnels ne relevant pas de l’AEFE :2.1. Contrat locaux ressortissants français :2.1.1. titulaires : fonctionnaires placés en disponibilité2.1.2. non titulaires2.2. Contrat locaux ressortissants étrangersConstat : il est possible définir six catégories pour les personnels exerçant dans les établissements relevant de l’AEFE :

  • 1.expatrié
  • 2.vrai résident
  • 3.faux résident
  • 4.contrat local français titulaire
  • 5.contrat local français non titulaire
  • 6.contrat local étranger

Il conviendrait même d’en rajouter une septième si l’on observe qu’il est également ponctuellement fait appel à des retraités de l’éducation nationale qui exercent en tant que recrutés locaux….(1) note :  J’emploie à dessein le terme de « catégories» plutôt que celui de « statuts »  car pour un statut donné, il existe plusieurs catégories possibles.

Fév 3, 2009 - Côté professionel    No Comments

Etat de l’école en 2008

Lu sur :

Le 13 janvier 2009 paraissait sur le site du gouvernement le rapport qu’on attendait depuis octobre: « L’état de l’école 2008 ».Issue du gouvernement, cette publication est réalisée pour justifier les mesures entreprises par notre ministre. Elle est toutefois instructive à bien des égards.Jetons un oeil sur deux points: les difficultés de lecture des jeunes et l’évolution du coût de l’enseignement du premier degré.Mais vous trouverez aussi dans ce rapport les synthèses des études internationales, et tout ce qui concerne le second degré (coût, conditions d’accueil, pourcentages de diplômés, etc.)12% d’élèves en difficulté de compréhensionhommes et femmes de 17 ans ou plus, de nationalité française, qui ont participé à la journée d’appel de préparation à la défense (JAPD) : »En 2007, 78,2% des jeunes d’environ 17 ans sont des lecteurs habiles. En revanche, 12% rencontrent des difficultés de compréhension. Pour une partie d’entre eux -4,9% de l’ensemble- ces difficultés sont très importantes.Les compétences en lecture ont été évaluées, en 2007, auprès des 800 000 jeunesL’évaluation révèle également l’existence de lecteurs médiocres -9,8% des jeunes. De 2004 à 2007, la proportion de jeunes en difficulté de lecture lors de la JAPD est passée de 11% à 12%. »L’enquête PIRLS (Progress in International Reading Literacy Study) en 2001, qui évalue les compétences en lecture des jeunes de l’OCDE en fin de quatrième année d’école obligatoire (CM1) avait mis la France en position médiane. L’enquête de 2006 confirme cette position.Ce qui ressort de cette étude de façon inquiétante, c’est que les élèves français manquent d’assurance: quand ils hésitent, ils s’abstiennent de répondre (pour 16% d’entre eux si la réponse exigée risque d’être longue). Ce fait est corrélé au peu de valeur qu’ils s’accordent: ils pensent que les Français se classeront en 42e position sur 45, alors que c’est loin d’être la réalité. »L’état de l’école 2008″ montre que les jeunes les plus en difficultés (4,9% de l’ensemble) souffrent de lacunes importantes en vocabulaire. Le linguiste Alain Bentolila, qui avait remis en mars 2007 un rapport sur le langage à monsieur de Robien, avait fait le même constat et prônait les « leçons de vocabulaire » dès la maternelle, introduites dans les programmes de 2008.Par rapport à ses voisins, la France a des classes chargéesDans les années 70, les écoles maternelles françaises comptaient en moyenne quarante élèves, moyenne actuellement descendue à vingt-six par classe. En élémentaire: vingt-six en 1970, vingt-trois jusqu’en 2003, un peu plus de dix-neuf en 2006.La France se situe pourtant dans le peloton de queue des pays de l’OCDE: il n’y a que onze élèves en moyenne par classe en Italie, douze en Suède, treize en Espagne. Nos différents ministres de l’Education nous ont souvent dit que la baisse des effectifs n’intervenait que très peu sur la qualité de l’enseignement. (Voir le diagramme.)Nombre moyen d'élèves par enseignant dans l'enseignement élémentaire, 2006 (OCDE).Une expérimentation temporaire a même été menée dans une centaine de cours préparatoires défavorisés en 2002, par la réduction des effectifs à douze élèves. Résultat? Un score un peu meilleur pour ces élèves, mais qui se trouve gommé en CE1. Précision: dans ce CE1, l’effectif était redevenu normal! L’éducation n’est pourtant pas affaire d’expérimentations éphémères, mais d’efforts au long cours…Le coût d’un écolier français« Entre 1980 et 2007, la dépense d’éducation a crû en moyenne au même rythme que la richesse nationale (soit de 2,2 % par an). » La dépense moyenne par élève a augmenté de 79% dans le 1er degré et de 63% dans le second degré.La part de l’Etat dans ces dépenses: 61,2%, des collectivités territoriales: 22,8%, des ménages: 7,7%, entreprises: 6,5%, autres administrations publiques et CAF: 1,8%. (Voir le diagramme.)Dépense d'éducation par rapport au PIB(OCDE).La dépense par élève en France est légèrement supérieure à la moyenne des pays de l’OCDE. Elle reste très supérieure à la dépense de pays comme l’Italie ou l’Espagne qui   pourtant ont en moyenne beaucoup moins d’élèves par classe.L’enseignement dans des classes à effectifs plus légers ne serait donc pas si coûteux?A lire aussi:Le rapport « L’état de l’école 2008 »L’enquête PIRLS sur les compétences en lecture des jeunes de l’OCDELe rapport sur le langage du linguiste Alain BentolilaTous les articles de Rue89 sur l’éducation

Fév 3, 2009 - Côté professionel    No Comments

La répartition de la dotation horaire globale d’un EPLE relève de la compétence exclusive du conseil d’administration (TA de Lille)

La répartition de la dotation horaire globale d’un EPLE relève de la compétence exclusive du conseil d’administration (TA de Lille)

« La répartition de la dotation horaire globale en heures d’enseignement mise à la disposition de l’établissement par l’autorité académique relève de la compétence exclusive du conseil d’administration, dont la décision est exécutée par le chef d’établissement », énonce le tribunal administratif de Lille (Nord) dans un jugement du 18 septembre 2008, dans une affaire qui oppose le rectorat à deux élus représentant les personnels enseignants au sein du conseil d’administration d’un lycée de Tourcoing. Ce jugement, qui affirme la primauté du vote du CA sur l’avis du chef d’établissement, est inédit dans la jurisprudence. Le rectorat n’a pas fait appel de cette décision.

Chaque année, en janvier et février, les conseils d’administration des collèges et lycées débattent de la meilleure manière de répartir, à la rentrée de septembre, les moyens alloués par le ministère de l’Éducation nationale et signifiés par le rectorat. Il s’agit de traduire une enveloppe globale d’heures – la dotation horaire globale – en tableau de répartition de moyens par discipline, en fonction des priorités pédagogiques et éducatives de l’établissement.

L’affaire jugée ici par le tribunal administratif de Lille porte sur la valeur du vote du conseil d’administration: le chef d’établissement est-il tenu de respecter ce vote ou peut-il s’en affranchir pour proposer un autre tableau de répartition de moyens au rectorat ?

TROIS ANS ET DEMI DE PROCÉDURE … Le 22 février 2005, le conseil d’administration du lycée Colbert de Tourcoing vote un tableau de répartition des moyens (TRMD) par discipline qui se démarque du projet présenté par le chef d’établissement. Au lieu de supprimer six postes et d’en créer deux, le CA décide de supprimer trois postes, la dotation horaire globale imposant le retrait de 54 heures (trois fois 18 heures). Or, le proviseur, estimant que l’avis du CA n’est que consultatif, transmet au rectorat un TRMD ne correspondant ni au projet qu’il avait initialement proposé ni au projet adopté par les élus. Ce nouveau tableau se traduit dans les faits par la suppression de cinq postes, sans nouvelle création. Deux élus enseignants du conseil, représentant le Sgen-CFDT et le Snes-FSU, l’apprennent après la tenue du comité technique paritaire. Ils écrivent au rectorat le 7 mars 2005 pour demander que soit respecté le vote du CA.

N’obtenant pas de réponse, ils sollicitent le 18 mars 2005 un recours gracieux du recteur.Comme le rectorat reste silencieux, les deux élus déposent en juin 2005 deux recours sur le fond au tribunal administratif de Lille, l’un contre la décision du proviseur, l’autre contre celle du recteur.

L’audience a eu lieu le 5 septembre 2008 et le jugement rendu le 18 septembre. Le tribunal administratif annule le TRMD validé par les autorités académiques, s’appuyant sur le décret 85-924 du 30 août 1985 relatif aux établissements publics locaux d’enseignement.

« En fixant un tableau de répartition des moyens par discipline distinct de la répartition décidée par le conseil le 22 février 2005, le chef d’établissement, incompétent en la matière, a méconnu les prérogatives de ce dernier, telles que définies par les articles 2, 8 et 16 du décret du 30 août 1985 », estime le président du tribunal administratif. Comme « la décision en date du 3 mars 2005 par laquelle le chef d’établissement du lycée Colbert a établi le tableau de répartition des moyens par discipline est illégale », elle est « annulée ».Tribunal administratif de Lille, 18 septembre 2008, 0503854.

Jan 29, 2009 - Côté professionel    No Comments

Les enseignants, les personnels de direction et leur rapport au monde

Le site de l’ESEN : l’Ecole Supérieure de l’Education Nationale offre une mine de ressources pour la formation des personnels d’encadrement.Parmi celles ci, il est possible de visionner, télécharger, podcaster toute une série de conférences.J’ai trouvé littéralement « lumineuse » cette intervention de Jean Pierre Obin, inspecteur général…« La présente conférence de Jean-Pierre OBIN ouvre un séminaire des personnels de direction stagiaires 2e année sur le thème de la « mobilisation des équipes éducatives ». Il propose une réflexion sur la différence de perception du monde professionnel des enseignants et des personnels de direction. Il aborde leurs rapports au temps,  à l’espace, au savoir, à l’autorité et à la société. »

Ecouter la conférence :

[audio:http://chronos.campus.univ-poitiers.fr/esen_podcast/mp3/obin/jp_obin_enseig.mp3]

Télécharger

Nov 4, 2008 - Côté professionel    No Comments

Concours personnel de direction

et c’est reparti pour un tour ……

Lors de l’inscription, les candidats déposent un dossier de présentation, qui sera transmis aux membres du jury avant la date de l’épreuve orale.Le dossier comporte obligatoirement :un curriculum vitæ de 3 pages dactylographiées au plusun rapport d’activité établi par le candidat, de 5 pages dactylographiées au plus, décrivant son activité professionnelle et faisant état des indications sur la part prise, notamment :- dans les activités d’une équipe pédagogique, disciplinaire ou pluridisciplinaire- dans des expériences ou des recherches pédagogiques- dans des sessions de formation, comme formateur ou stagiaire- dans le fonctionnement du centre de documentation et d’information (CDI), des clubs, du foyer socio-éducatif ou de la maison des élèves, plus généralement dans la vie collective de l’établissement- dans l’organisation des relations avec les parents d’élèves- dans toute forme de la vie associativeune lettre de motivation du candidat, limitée à 3 pages dactylographiées : à partir de son expérience professionnelle, le candidat doit montrer son aptitude à remplir les missions et exercer les fonctions postuléescorrespondant aux emplois mis au concoursles deux dernières appréciations et évaluations dont il a fait l’objet
Oct 20, 2008 - Côté professionel    No Comments

Ma petite collection de râteaux !

Je n’aime pas trop le mot de carrière, il sous entend un plan, une stratégie pré-établie, des batailles opiniâtres et des arguties pour parvenir au but . Je lui préfère le terme de « parcours professionnel« .Parcours, itinéraire semé d’embûches de fausses directions, d’aiguillages grippés voici la source de cette série de fins de non recevoir qui constitue ma petite collection de râteaux !Lorsque je présente ma candidature à l’occasion d’un entretien professionnel je m’efforce de démontrer que, loin d’être un assemblage hétéroclite d’expériences diverses et variées, mon parcours est en fait le résultat d’une suite logique et cohérente d’évènements professionnels. Chacune de mes missions, un mot que j’aime, est toujours la conséquence de la précédente.JPEG - 19.3 koLa motivation n’était pas toujours au rendez vous, aussi à l’exception d’un seul, je ne considère pas tous ces râteaux à proprement parlé comme des échecs, ..Besoin d’avoir « deux fers au feu », bouteilles à la mer, tests pour « tâter le terrain », ils ont tous, dans un contexte différent, leur propre histoire…

Pages :«1...1920212223242526»

dacosavoile

 
%d blogueurs aiment cette page :