Juin 16, 2011 - L'os à voile    No Comments

C’est un fameux trois mâts…

 

C’est un fameux trois mâts fin comme un oiseau
Hisse et ho, Santiano
Dix huit nœuds, quatre cent tonneaux
Je suis fier d’y être matelot

Refrain
Tiens bon la vague et tiens bon le vent
Hisse et ho, Santiano
Si Dieu veut toujours droit devant
Nous irons jusqu’à San Francisco

______
Je pars pour de longs mois en laissant Margot
Hisse et ho, Santiano
D’y penser j’avais le cœur gros
En doublant les feux de Saint-Malo


Refrain
Tiens bon la vague et tiens bon le vent
Hisse et ho, Santiano
Si Dieu veut toujours droit devant
Nous irons jusqu’à San Francisco

______
On prétend que là-bas l’argent coule à flots
Hisse et ho, Santiano
On trouve l’or au fond des ruisseaux
J’en ramènerai plusieurs lingots

Refrain
Tiens bon la vague et tiens bon le vent
Hisse et ho, Santiano
Si Dieu veut toujours droit devant
Nous irons jusqu’à San Francisco

 

Juin 12, 2011 - Cogito    No Comments

Essai Yakkair avec matos de rando

La Yakkair one n’est pas un gros porteur aussi j’ai laissé tomber l’idée d’embarquer un vélo pliant pour prolonger le voyage à terre…

Par contre je conserve l’idée de pouvoir tout transporter, kayak et matos de rando, une fois le tout plié.

Il est vrai que si on restait dans la philosophie du Yakkair le matos de rando devrait se réduire à sa plus simple expression : un sac de couchage… et encore.

Mais comme j’avais mis l’option confort… Le résultat en « chambre » semblait prometteur, tout tient dans le kayak, restait à tester sur l’eau pour voir le comportement du bateau.

Essai concluant ce dimanche 12 juin sur  lac de Naussac (près de Langogne) plan d’eau calme, pas de vent le matin et un bon thermique l’après midi. Mise à l’eau vers 11h et retour à 18 h.

Alors allons y , une remarque au passage les photos sont parfois trompeuses et ne reflètent pas exactement la réalité (volume par exemple).

Donc tout ce qui était sur la photo du Kayak dans l’appartement s’est retrouvé sur l’eau toute la journée (encore une fois conditions que l’on peut qualifier de calmes).

Première chose : le kayak était très manoeuvrable, j’ai pagayé toute la journée sans problème avec même parfois un petit vent de face

Quelques remarques sur le matériel embarqué :

– la tente : j’hésitais entre une petite tente de rando très légère et une tente D4 2 secondes : et bien mon choix est définitif je prends la 2 secondes ! D’abord je n’arrive pas à remettre la main sur la première mais surtout j’ai placé la tente derrière le siège et alors là, miracle : le confort est extrême !!! C’est simple j’en viens presque à penser que je vais naviguer avec tout le temps !!!! Le dos est bien appuyé sur la tente qui trouve bien sa place (voir photos)

– Le matos de couchage : placé dans un sac étanche il ne gêne pas et question matelas le gros matelas gonflable ne prend pas beaucoup de place (moins qu’un auto gonflant) avec un confort « comme à la maison »… Reste la solution d’utiliser le plancher du Yakkair. Je ne suis pas chaud, d’abord et c’est son avantage c’est une planche de bois ! On peut le dégonfler un peu mais il ne vas rester grand chose et puis je crains de l’esquinter…

– Le sac à dos de transport du Yakkair  va pile poil sur l’arrière du bateau et s’accroche avec trois mousquetons, une fois en place il offre un intéressant volume de rangement (sur les photos il semble imposant mais c’est surtout du volume, pas trop de poids).

– Je retiens l’idée d’un sac étanche sous les genoux qui doit encore améliorer le confort et centrer les poids.

– les affaires de toilette c’est juste une serviette, un savon de Marseille, une brosse à dent…

– Les fringues : je vais revoir la liste et prévoir le minimum.

– L’iPad c’est pas une vanne, ce n’est pas encombrant et c’est une mine d’usages et de services (mais ça c’est un autre sujet !)

– Quant à la voile je n’imagine pas une seule seconde de m’en passer (c’est simple elle fait partie de l’équipement de base du bateau !)

Le tout est transportable à dos d’homme donc possible de revenir au point de départ par un transport collectif ! Autonomie totale !

Juin 11, 2011 - L'os à voile    9 Comments

Rando avec Yakkair one ???

Bivouaquer deux ou trois nuits en descente de rivière me tente bigrement mais le cahier des charges que je me suis fixé est assez compliqué :

  1. je veux utiliser le Yakkair One
  2. je veux un minimum de confort
  3. je veux un maximum de simplicité

1 Le Yakkair one pour sa simplicité, son poids mini et sa voile Flip flap

2 le confort : une tente (ou un sur sac pour la belle étoile) mais un matelas pneumatique correct et un duvet. De quoi casser la croûte chaud, s’habiller et se changer, un minimum d’affaires de toilettes.

3 Simplicité le tout doit être transportable par le bonhomme seul histoire de regagner un point de départ en empruntant train ou bus. Donc il faut aussi pouvoir embarquer  la bouffe, une popote minimale, des fringues, papiers, appareil photo et cerise sur le gâteau l’iPad histoire d’embarquer un GPS, des bouquins, un lien internet, la télé, la radio, des infos multiples etc.

Alors au boulot, en principe j’ai tout ce qu’il faut, il suffit de me transformer en Jivaro réducteur de tête pour optimiser tout ça…

Alors résultat des courses après une journée de cogitation, quelques courses pour compléter l’équipement, voilà ce que ça pourrait donner :

Bon sur cette photo tout y est ! et le kayak ne me parait pas trop surchargé et me semble navigable :

Inventaire :

  • le kayak et sa voile flip flap,
  • dans la pointe avant : 2 litres d’eau,
  • derrière le siège un matelas pneumatique,
  • sous le pontage arrière dans un sac étanche : duvet, oreiller compressible, sur sac,
  • dans le sac du Yakkair attaché par trois mousquetons sur le pontage arrière : sac étanche avec les fringues (calbute, polaire, tee shirt chemise légère anti coup de soleil, fumantes, pantalon, short), hamac, pompe,popote, gaz, bouffe, affaires de toilette (serviette, savon, brosse à dent, crème solaire, aspirine, pansements, antimoustique),
  • sur le sac : tente D4 1 place,
  • dans le bidon : les papiers, l’appareil photo, lunettes,
  • dans une pochette étanche commandée chez Pearl diffusion (10€) : Ipad…

Détail du matos :

Détail cuisine :

Bon et le tout plié dans le sac du Yakkair (avec le gilet et la tente accrochés dessus) + un sac de voyage avec tout le reste du bardas. Je ne  ferais pas des kilomètres avec mais c’est possible de porter tout ça …

(le sac de voyage vide tient dans le sac Yakkair)

Autonomie disons deux nuits …

J’oublie sûrement quelque chose… ah oui, si  :

 

Bon je crois que je vais tester la navigabilité du Yakkair avec tout le fourbi demain sur le lac de Naussac. Ensuite il faudra attendre la mi juillet pour titiller la rivière pour de vrai !

à suivre…

Juin 10, 2011 - Côté personnel    2 Comments

Le vélo c’est crevant.

Bientôt le Tour de France, chouette on va refaire du vélo a la télé !

Parce que, bon, la bécane c’est bien mais c’est crevant.

Ma femme a bien  failli péter une durite la dernière fois que l’on est allé voir passer les coureurs près de chez nous. Vu le contexte, on avait enfourché nos bicyclettes pour assister au passage  de l’étape  qui visitait notre campagne à quelques kilomètres de la maison.

Le  problo c’est que la molle descente de l’aller s’est transformée en redoutable col de l’Isoard au retour et ma tendre et douce ne pouvait plus arquer dans la côte… Ca a commencé à faire du suif et il a fallu aller chercher l’auto pour rapatrier illico ma pauvre Jeannie Longo à la casa…

 

Le vélo c’est moins pénible à la télé, ça c’est sûr. Mais il y a juste un petit souci,  ma femme que voulez vous, elle aime pas les Rabobank, ah ça nom de nom, dès quelle aperçoit un de Rabobank ça la rend fumasse d’une force…

A part ça, des vélos j’en ai eu deux à la Rochelle, ville pédalante pour bobos cyclistes.

Un chouette VTT recarossé en vélo de ville avec selle moelleuse, des rétros de camion,  un porte bagage et tout le fourbi pour aller au boulot  :  » le City Cruiser » que je l’avais baptisé.  Hélas je me le suis fait secouer dans la cour de la maison par une bande de malfaisants qui ont embarqué en sus la pétrolette de Jim… Deux jours plus tard, on a bien retrouvé la pétoire dans une rue du quartier mais le City cruiser, bernique (ta mère)… jamais revu…
De rage je me suis racheté un super vélo de ville tout en inox chromé sport : le Silver Arrow et vas y ma poule cheveux au vent pour aller bosser à Bel Air…

Maintenant j’en ai un nouveau, vachement pratique vu que c’est un vélo pliant plié dans le coffre de la voiture entre le kayak gonflant (mais au demeurant très agréable) mes affaires de camping (au cas où l’hôtel serait fermé) et mes chaussures de marche (si toutefois il y avait à marcher).

Et avec ce vélo je t’en ai t’y sillonné des villes et des ports de l’Atlantique…

Aller, zou, pour finir un ch’ti bout de film du génial Tati…

Ah oui le vélo c’est bien mais putain qu’est ce que c’est crevant ….

Juin 7, 2011 - L'os à voile    2 Comments

Il était un petit Marcel…

… qui n’avait ja ja jamais navigué …

– Oullah !!! Mais qu’est ce que tu me chantes ! Mais c’est tout le contraire… Le P’tit Marcel y fait rien que naviguer !!!

– Ah bon ???

– Ben oui mon gars, enfin quoi, t’étais pas à St Victor pour l’Ascension ???

– … euh ben non… Pourquoi ?

– Pourquoi, pourquoi… mais tête de noeud, tu l’aurais vu fendre les flots le P’tit Marcel !!!

Ah ça il faut dire qu’il y avait du beau linge sur le plan d’eau  ! Toute la fine fleur des bras cassés de la bidouille des voileux kayakeux  qui s’était donné rendez vous sur la retenue de Grangent à côté de Sainté.

– Ah mince j’ai raté ça !

– Oui Môssieur et il y avait même des huiles… Le boss des gonflants en personne !

– Pas possible… Tu veux parler d’Andy ??

– « Monsieur Andy » tête de noeud, soye poli ou j’te claque le beignet.

 

– … ben mince alors mais pourquoi tu critiques ma chanson ?

– Mais biscotte le P’tit Marcel il a fait rien que naviguer tout le temps !!!

– Nan ???

– Et ouais mon gars, mais faut dire que son vaillant capitaine, le Glaude, il a de qui tenir, son papa spirituel c’est Tonton Marcel, un sacré vieux briscard qui te transforme en deux coup de cuillère à pot n’importe quelle épave de canoé en trimaran au long cours. Un sacré scieur de long de flotteurs de planche à voile… Ah sont pas fières les Dufour du dernier millénaire : vite fait bien fait, les voilà transformées en flotteurs de multicoque des familles…

Alors le Glaude, il est insatiable…  et vas y que je te visse, que je te coupe, que  je te couds, que je te perce…. Et la nave va !

 

– Tiens au cas où t’aurais besoin d’accastillage demande au Glaude : il t’indiquera le meilleur schipchandler de Roche La Molière : « Intermarché » que ça s’appelle, tu es sûr d’y trouver les meilleures bômes télescopiques au rayon manches à balai…

– Ah ça oui Le P’tit Marcel c’est un fichu sacré bon barlu, et pas feignant avec ça ! Il fallait le voir naviguer dans les gorges de la Loire entre les châteaux à se tirer la bourre avec les autres kayaks et canoës à voile…

– Et dire que j’ai raté ça …

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nb : toute ressemblance avec des personnages existants ou ayant existé ne serait pas mais alors vraiment pas, fortuite.


Juin 1, 2011 - Côté professionel    No Comments

Les manuels numériques de 4ème

Sur le « Café mensuel » : Les manuels numériques de 4ème
Le manuel numérique a désormais sa place dans les collèges, mais comment choisir parmi la production massive qui accompagne les nouveaux manuels de Français pour le niveau Quatrième ? Vous trouverez ici un petit tour d’horizon de ces nouveautés, sans autre ambition que de vous présenter le marché et vous donner une analyse de leurs points forts et de leurs points faibles, pour vous aider à mieux vous y retrouver.

Bilan et nouveautés

L’écart est grand d’un éditeur à l’autre : du simple DVD-ROM au manuel numérique entièrement interactif (et enrichi premium), il y en a pour tous, et surtout pour tous les niveaux de compétences informatiques. Certains font le choix d’enrichir substantiellement la version de l’enseignant, en lui fournissant notamment un outil de construction de cours.

Un coût toujours élevé

Des efforts commencent également à être faits en matière de tarification du numérique, mais ils restent globalement insuffisants, même s’il est vrai que de plus en plus de licences simples sont gratuites pour les adoptants. Les versions enrichies, en revanche, demeurent un investissement, ce qui se comprend tant les droits d’auteur afférents à un manuel de français peuvent être coûteux. Comme l’an passé, les éditeurs proposent une offre de découverte gratuite jusqu’au 31 décembre 2011.

Pour une visibilité des compétences

D’une façon générale, les éditeurs ont effectué un travail de repérage efficace en ce qui concerne les compétences du socle travaillées et les activités d’Histoire des arts. Un plus non négligeable pour veiller au bon respect des nouveaux programmes.
On sent bien, face à cette extraordinaire diversité, que nous vivons une époque de mutations, de transition… et d’hésitations !

la suite est à lire sur le Café pédagogique mensuel

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dacosavoile

 
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