Sep 4, 2014 - Pataphysique    No Comments

Parti d’en rire ou à pleurer…

Mais bon sang qu’est ce qu’on attend pour remettre tout ça à plat…

On n’en peut plus de ces vieux tringlots des siècles passés qui nous collent aux basques.

Merde mais qu’on renvoie enfin la gauche de la gauche et la droite de la droite aux oubliettes de l’histoire qu’ils aillent re-mouliner leurs vieilles lunes dans les utopies conspirationnistes rances , cuites et recuites, collées au fond de la marmite.  Qu’ils aillent se foutre mutuellement dans le cul leurs étendards dégoulinants du sang des camps de la mort, des goulags, mités et nauséabonds.

Gens de bon sens de France unissez vous !

Foutre bite, on a le bon cheval, la République et tout ce qu’il faut pour le faire galoper vers demain : la démocratie, les valeurs de tolérance, de laïcité, le plus beau pays du monde, la force de la jeunesse, la richesse de la diversité…united colors of Benetton…

Non ce n’était pas mieux avant !

Oui, mille fois oui aux progrès à la science. Que l’on fasse rouler nos autos à l’électricité produite avec aussi bien le soleil que le télescopage des atomes de Savoie, des centrales de notre vallée du Rhône ou de la doulce Loire . Que l’on ouvre encore plus de musées dans nos beaux palais et qu’on les clone à l’infini dans nos tablettes et les nuages numériques… Que s’imprime pour l’éternité le fil de de nos rêves dans le vertige du silicium, incunables nuages qui vibrent dans les smartphones au fond de nos basques.

Mais avant tout que l’on nous débarrasse le plancher de ces tristes partis … Laissez nous seulement le parti d’en rire.

Août 30, 2014 - Côté professionel    No Comments

InteractiFLE recherche des contributeurs pour créer des ressources TBI !

http://www.interactifle.comInteractiFLE

Formations et partage de ressources TBI pour le FLE

Actualité publiée le 08 août 2013

Chers collègues utilisateurs,

InteractiFLE ouvre ses portes à de nouveaux collaborateurs concepteurs.

Si vous concevez des activités TBI que vous souhaitez partager dans un cercle toujours grandissant d’utilisateurs (3500 environ à ce jour), prenez contact avec nous via interactifle@gmail.com.

Cristina Fernandez, formatrice TICE et responsable pédagogique du projet InteractiFLE se chargera de vous aider pour rendre vos activités aussi jolies qu’efficaces. Ces dernières seront ensuite mises en ligne sous votre nom bien entendu!

En attendant vos activités que nous espérons nombreuses, l’équipe d’InteractiFLE vous remercie encore pour vos fréquents encouragements et messages de sympathie.

Que votre été soit joyeux et ensoleillé !
L’équipe d’InteractiFLE

 

Août 25, 2014 - Pataphysique    No Comments

Déconnez-pas : libérerez les pingouins !

Mais où sont donc passés les deux pingouins du « fer à cheval » placés derrière les grilles où se trouvent les paons?

Réponse à cette question que certains nous ont posée.

Malveillance, stupidité, cupidité ?

Incivilité. . . certainement.

En effet, une des oeuvres « Le pingouin blanc » des artistes Zac et Niko, exposée au jardin Henri Vinay dans le cadre de notre parcours d’Art contemporain a été dérobée durant le week end dernier.
Vous comprendrez notre déception à l’idée d’ apprendre que notre projet, réalisé en partenariat avec le musée Crozatier, la ville du Puy, le Conseil général, la commune d’Aiguilhe et la forteresse de Polignac ait été saboté.
Cet acte de malveillance nous conduit à enlever les 2 autres oeuvres qui faisaient partie d’une chasse au trésor plutôt motivante pour les familles.
Vous le savez, ce projet était le résultat d’un travail important de la part de bénévoles et d’actifs qui souhaitaient faire partager leur sensibilité artistique en présentant des oeuvres d’Art au plus grand nombre afin de découvrir ces « drôles de bêtes » sous forme ludique

Dommage non ?

Gageons que ceux qui ont commis cet acte suite à une « dérive » quelconque regrettent ce geste d’ incivilité et sauront faire le nécessaire pr que le pingouin blanc soit restitué.

Joëlle Garnier
Présidente de la Société des Amis du Musée Crozatier

Libérez les pingouins !

Libérez les pingouins !

Août 12, 2014 - L'os à voile    No Comments

Photon 5 est en Corse

Photon 5 le génial Canoé solaire de notre ami Christian de Gélis est en Corse !

Nous l’avons déjà croisé à Pareloup, avec Marcel ou aux Roches de Condrieu l’été dernier lors de sa descente du Rhône.

Le bateau a été marinisé pour affronter la grande Bleue.

Après avoir écumé les grands fleuves d’Europe, Christian de Gélis a modifié son bateau pour lui permettre d’affronter des plans d’eau plus agités.

Basé à Taverna situé à environ 40 kms au sud de Bastia, les premiers essais se poursuivent avant d’entamer une navigation… Peut être une circumnavigation a tour de l’ile de beauté ?

A suivre !

photon photon2 photon3 photon4

Août 12, 2014 - L'os à voile    No Comments

Expédition 6 kilos

Un superbe film de « Karderouge » :

 » Pendant trois semaines j’ai parcouru, sur un kayak gonflable de ma fabrication, la péninsule d’Ampasindava située sur la côte Nord ouest de Madagascar, non loin de Nosy Be. Je voguais de village en village à la rencontre des habitants de ces contrées magnifiques où la pauvreté, si on veut la comparer au reste du pays, est moins prégnante grâce aux ressources marines qui permettent à chacun de manger à sa faim.
J’ai réalisé ce film de A à Z avec un appareil photo numérique (Canon Powershot SX 130) qu’on trouverait aujourd’hui à moins de 60 euros sur le Bon Coin. Un des buts de mon film est aussi de prouver qu’on peut tourner avec du matériel ultra light et un budget vraiment ridicule.
Pour profiter pleinement du film pensez à mettre l’option HD et tachez de brancher des enceintes dignes de ce nom 🙂
N’hésitez pas à me donner vos impressions. »

Juil 30, 2014 - L'os à voile    2 Comments

Chronique d’une balade annoncée : suite et fin.

Ainsi il faudrait que je publie un compte rendu de cette balade…

Je devrais coucher sur le papier le détail des étapes, la météo et tous les détails de cette randonnée, combien de temps de temps j’ai ramé, combien de temps j’ai pédalé, comment étaient les campings, l’organisation de la logistique des bivouacs, ce que j’ai mangé et où j’ai satisfait aux besoins de la nature.

Mais non ..

Je ne retiendrais que le bruit de l’eau de cette Loire joueuse sur mon petit kayak, le kaléidoscope des ciels d’été qui bouscule ma paresse tandis que je rêvasse au fil du courant.

Le fleuve, les nuages et le vent que nous verrez pas…

Lorsque après avoir pagayé vigoureusement pour passer des rapides, le fleuve s’élargit pour se vautrer dans les méandres, j’extirpe ma liseuse de mon bidon étanche et je bouquine affalé dans mon embarcation. Maigret traque la vérité dans un Paris brumeux et moi je me laisse glisser dans un écrin de verdure, brulé par le soleil de juillet que tempère la fraicheur de la rivière. Faites-moi monter de la bière et des sandwichs…

Le chant des oiseaux, les bruits de la nuit dans ce bivouac dans la forêt. Le meuglement de la vache appelant son veau, les stridulations des insectes, le gros poisson qui saute dans le fleuve et la cloche d’une église de campagne invisible qui rythme le temps de cet été qui coule comme le sable entre les doigts de la main.

Meuh !

Trois jours d’errance canalisés par le cours du fleuve avec pour seules compagnes les vaches qui, les pieds dans l’eau, regardent passer ces embarcations multicolores qui suivent le courant. Je ne suis pas seul dans cette aventure nonchalante, des équipages la plupart germaniques tracent aussi leur route ? Suis-je bien sur la Loire ou plutôt ne serait-ce pas plutôt le Rhin ??? Et ce français avec qui j’ai échangé quelques mots dans l’un des rares villages traversé, un prisonnier de guerre ???

Mais foin de sarcasmes, l’Europe est enfin une réalité qui se décline jusque dans les aventures minuscules de la navigation ligérienne.

Enfin arrive la terre promise, la cité émerge de la verdure. Le bruit, la route. Comme un avion sans aile, toucher terre, se poser près d’une route. L’exercice consiste ensuite à plier le kayak, à l’ombre si possible et la métamorphose s’accomplit, le transport fluvial devient terrestre. Les roues sortent du sac, se clipsent sur la remorque et rouler jeunesse, le bateau est devenu engin terrestre !

Camping, civilisation, la douche se substitue à la rivière pour la toilette, la cuvette de porcelaine remplace avantageusement le petit bois et les orties qui vous piquent le cul… Et puis la ville toute proche avec son bistrot sur une place écrasée de chaleur où la petite serveuse empruntée vous sert maladroitement une bière fraiche. Balade en vélo, visite d’une église sombre et sans grand intérêt.

Après …

Une journée de vélo dans la campagne. Canicule… Il fait chaud très chaud. Mais c’est l’été, qui irait se plaindre ? La route est longue même si pour alléger l’attelage tout est resté au camping il faut pédaler pour retrouver la voiture laissée au départ de cette coulée douce dans la Loire…

Pédaler dans ces interminables lignes droites, ces parenthèses de forêt et enfin la voie royale, la voie verte, le long du canal. Les pénichettes s’agglutinent aux écluses et moi tout crevé que je suis je les laisse sur place dans un pédalage jouissif et ricaneur…

Après..

Le tonnerre gronde, la pluie s’abat grise et rafraichissante. C’est pour moi le moment de changer de terrain de jeu. Après cette échappée sauvage entre Digouin et Decize, il temps de couper le fromage pour rejoindre le fleuve royal des châteaux , de la doulce Loire…

Escale à Montrichard le temps d’un repas fin et d’une nuit dans une hostellerie au bord du Cher pendant que dame nature s’épanche en pluie d’été.

Le soleil est revenu.

Et une nouvelle navigation au départ de Savonnières, sur le Cher d’abord et la Loire ensuite. A l’embouchure, sur la levée, un camp de romanichels évoque de manière irrésistible le club des 5 et Jo la gitane ou Tintin et le camp aux portes de Moulinsart… Un gamin rigolard me montre son cul, les femmes crient après la marmaille et les hommes débonnaires boutiquent près des voitures et des caravanes… Non plus de chevaux dans cette histoire … Trece timpul…

Cette fois le fleuve est majestueux, même si parfois, au beau milieu, les pelles de ma pagaie raclent souvent les graviers du fond…

Passé Langeais et son château je touche terre à Bréhémont port de la batellerie de Loire. De loin la flèche de son église endosse le rôle du phare breton. Le quai de pierre est propice à l’atterrissage et au pliage de mon attelage.

Bréhémont Harbour

Tous les néo bateaux de Loire sont désormais équipés de moteur… Heureusement  ! Une pitoyable toue cabanée tente de remonter le courant, malgré le vent portant, elle se vautre lamentablement… Les anciens ont bien fait de quitter la piste… sont pas bons les marins d’eau douce d’aujourd’hui…

Derrière les fleurs , la navigation laborieuse d’un « vaisseau » de Loire…

Escale paresseuse, retour au camp de base visite du château tout proche de Villandry et ses jardins merveilleux.

Dans les reflets de Montsoreau, Françoise de Meridor…

Les perles s’enfilent Candes Saint Martin au bord de la Vienne. Nouvelle navigation, vers la le fleuve majestueux. Dans les reflets de Montsoreau, Diane de Méridor, la dame de Montsoreau apparait dans les meneaux de sa fenêtre… Mirage de l’été et le courant me pousse vers Saumur, ses cavaliers que je ne verrai pas, mais son château qui domine le fleuve. Sortie de la rivière dans une trouée de verdure et de nouveau pliage, et randonnée en vélo avec la montée de la bosse de Champigny.

Champigny … Saumur Champigny, Bourgueil, oui les vins de Loire sont bien présents dans cette échappée…

Avec modération mais le rosé bien frais du camping est le bienvenu pour faire oublier les rires et les paroles hautes de ces deux flamandes qui se sont installées à côté de ma tente.

Et puis le temps passe, il est temps de plier les gaules et de retourner vers mon Vianon, retrouver mon Rhône qui doit bouder mes infidélités ligériennes… Et voilà c’est fini.


ou lien vers les photos pour ceux qui n’auraient pas de flash …

 

Juil 11, 2014 - L'os à voile    No Comments

Chronique d’une balade annoncée (12) : dans les starting blocks !

Ouf ça y est en vacances !

Cette fois on va pouvoir y aller… Je m’accorde deux jours de repos pour d’une part, finir de récupérer de cette saleté de pneumopathie qui m’a cisaillé et d’autre part attendre le retour du soleil. Je vais en profiter pour une ultime révision du matériel…

 

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dacosavoile

 
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